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Le plus grand défi a consisté à convaincre les parents du bidonville de l’importance de l’éducation car pour la plupart des familles, une bouche à l’école est une bouche qui ne gagne pas d’argent.

Mais aujourd’hui, le défi est relevé et l’école accueille régulièrement une cinquantaine d’enfants.

 

A défaut d'une "école" digne de ce nom, un abri de fortune (4 piquets, une toile plastique et une couverture sur le sol) ou un petit bâtiment en dur lors des intempéries, permet à Mme Baisla, le professeur, de regrouper les élèves et de leur dispenser quotidiennement trois heures et 1/2 d'enseignement : lecture, écriture et calcul.

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Cette enseignante travaille maintenant depuis plusieurs années à l'école du bidonville Sector 8 et les progrès des élèves sont réels. Plus de cinquante d'entre eux, à l’issue de leur scolarisation dans le bidonville ont réussi l'examen d'entrée et ont pu ainsi intégrer l’école gouvernementale.

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SAFI soutient ce projet en finançant, chaque mois, le salaire de l'enseignante, les livres, cahiers et crayons.

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