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NOS PROJETS EN INDE

A Varanasi

A Varanasi, (ancienne Bénarès), ville située au bord du Gange dans l'état de l'Uttar Pradesh, un des états les plus pauvres de l'Inde, SAFI apporte une aide financière à Nav Jeevan, "Nouvelle vie" en hindi, (anciennement Hijos de la Luz), association créée et portée par Jesumiel et Badal et agréée par le gouvernement indien.

Badal est un jeune indien né dans le bidonville de Samne Ghât et Jesumiel, une jeune femme argentine qui œuvre depuis de nombreuses années maintenant auprès des familles vivant dans le bidonville de Samne Ghât.

Ces familles de Dalits (Intouchables), rebuts de la société indienne, sont réduites à vivre exclusivement de la mendicité et dans des conditions matérielles plus que précaires (quelques bâches rudimentaires au bord du Gange, dans la poussière et la boue) avec tout le cortège de misères qui les accompagne (alcoolisme, violence, prostitution).

Pendant plusieurs années, Jesumiel, soutenue par SAFI, a pris en charge quotidiennement de nombreux enfants du bidonville de Samne Ghât pour les nourrir, les éduquer et leur donner quelques rudiments d'instruction. Elle a aidé ces familles :

- à sortir de la mendicité en apprenant à confectionner des objets artisanaux qu'elles allaient vendre sur le bord du Gange,

- à sortir du bidonville en les aidant à trouver et à financer un vrai "logement",

- et à tout simplement accéder à une vie décente : pouvoir manger, se laver, être éduqué, être soigné.

Varanasi- Enfant aux fleurs.jpeg

Permettre à ces familles d'avoir un toit hors de ces ghettos, c'est leur offrir un accès à l'eau, au travail, à l'éducation des enfants.

C'est leur permettre d'échapper à la violence de la pauvreté.

C'est redonner tout particulièrement aux femmes le droit d'être fières d'elles-mêmes, car, dans la société indienne, ce sont elles qui sont les plus opprimées et dévalorisées.

Jesumiel et Badal, toujours soutenus par SAFI, poursuivent inlassablement leurs actions. Sous l'égide de Nav Jeevan, ils ont ouvert un Foyer dans lequel ils accueillent, à temps plein, une quarantaine d'enfants du bidonville,

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